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Les huiles de graines - Tournesol, Colza, Carthame & Sésame
Les huiles végétales

Les huiles de graines – tournesol, colza, carthame & sésame

19 novembre 2025
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Les huiles végétales comme celles de tournesol, de colza, de lin ou d’arachide sont omniprésentes dans l’alimentation moderne et souvent présentées comme des alternatives « saines » aux graisses animales. En réalité, leur histoire, leur mode de production et surtout leur composition lipidique révèlent de sérieuses limites pour la santé humaine. Les acides gras saturés, loin d’être néfastes, constituent une source stable, propre et efficace de carburant pour l’organisme et sont essentiels pour la structure cellulaire, la production hormonale et la fonction cérébrale. En revanche, la grande majorité des huiles végétales sont problématiques. Elles sont riches en oméga-6 et déséquilibrent notre profil lipidique. Une consommation excessive d’oméga-6 modifie la composition de nos réserves adipeuses, les rendant moins accessibles comme source d’énergie, favorisant l’inflammation et aggravant les troubles métaboliques. Même les graisses animales issues d’animaux nourris aux céréales, au maïs ou au soja sont de qualité inférieure, tandis que les graisses d’animaux nourris à l’herbe fournissent un profil idéal, riche en acides gras saturés stables, en oméga-3 et en nutriments essentiels. Comparées à ces graisses animales optimales, les huiles végétales apportent des lipides majoritairement instables, oxydables et pro-inflammatoires, loin de répondre aux besoins physiologiques de l’être humain.

 

L’huile de tournesol

L’huile de tournesol est extraite des graines de Helianthus annuus, une plante originaire d’Amérique du Nord qui était déjà cultivée il y a plus de 5000 ans par les populations amérindiennes. Ces peuples utilisaient le tournesol pour ses graines comestibles ainsi que pour la teinture et l’ornement.

 

La plante fut introduite en Espagne au début du 16ème siècle, rapportée par les conquistadors après la découverte du Nouveau Monde. Elle s’est d’abord répandue en Europe comme plante ornementale, appréciée pour ses grandes fleurs décoratives, avant que ses qualités oléagineuses ne soient reconnues. Ce n’est qu’à partir du 17ème siècle que l’on commença à l’utiliser pour produire de l’huile, notamment pour l’alimentation et l’éclairage domestique.

 

À partir du 19ème siècle, la culture du tournesol s’est industrialisée, notamment en Europe de l’Est et en Russie, avec l’apparition de méthodes modernes d’extraction. Aujourd’hui, l’huile de tournesol est produite par pression à froid pour les huiles vierges et par extraction chimique avec solvants, souvent suivie de raffinage, de désodorisation et de blanchiment pour augmenter sa stabilité et sa durée de conservation.

 

A notre époque, l’huile de tournesol est l’une des plus produites et consommées dans le monde, aussi bien pour la cuisine domestique que pour l’industrie agroalimentaire. Sa neutralité de goût et sa couleur claire en font une base privilégiée pour les fritures, les sauces, les mayonnaises, les margarines, les conserves de poisson et une multitude de plats préparés. Elle est également largement utilisée dans la boulangerie et la pâtisserie industrielles, entrant dans la composition des biscuits, gâteaux, viennoiseries et snacks emballés. Mais l’essentiel de sa valeur pour l’industrie réside dans les nombreuses transformations qu’elle permet. L’huile de tournesol peut être raffinée, désodorisée et blanchie pour obtenir un produit stable à longue conservation.

 

Elle peut aussi être soumise à l’hydrogénation partielle, un procédé qui la rend plus solide et qui a longtemps servi à fabriquer des margarines ou des graisses de cuisson, générant au passage des acides gras trans. De nouvelles variétés dites « high-oleic » ont également été développées par sélection et modification génétique, afin d’augmenter la proportion d’acide oléique et de rendre l’huile plus résistante aux hautes températures et à l’oxydation. Ainsi, loin de se limiter à une simple huile de cuisson, le tournesol constitue aujourd’hui une véritable matière première pour l’industrie alimentaire, transformée et adaptée à de multiples usages selon les besoins technologiques.

 

Composition lipidique de l’huile de tournesol :

  • Acides gras saturés : environ 10 %, dont acide palmitique 6 % et acide stéarique 4 %.
  • Acides gras monoinsaturés (oméga-9) : environ 20 %, dont acide oléique 19,5 %.
  • Acides gras polyinsaturés (oméga-6) : environ 70 %, dont acide linoléique 67 % selon la variété et le procédé d’extraction.
  • Oméga-3 ALA (acide alpha-linolénique) : très faible, moins de 1 %.
  • Acide gamma-linolénique (GLA) : en traces, quasi négligeable.

L’huile de tournesol contribue à une surconsommation d’oméga-6. Un apport excessif, en particulier d’acide linoléique, perturbe l’équilibre des graisses corporelles et la composition des membranes cellulaires. Ces acides gras, très présents dans les huiles végétales, sont chimiquement instables et s’oxydent facilement, produisant des composés nocifs pour l’organisme. Ils entretiennent ainsi une inflammation chronique de bas grade, affaiblissent progressivement les défenses immunitaires et accélèrent le vieillissement prématuré des tissus.


De plus, les oméga-6 en excès concurrencent directement les oméga-3. Comme ils utilisent les mêmes voies métaboliques, leur domination empêche la transformation des oméga-3 en molécules protectrices, indispensables à l’équilibre nerveux, cardiovasculaire et anti-inflammatoire. Loin de simplement s’ajouter à notre alimentation, ils déséquilibrent donc le rapport naturel entre oméga-3 et oméga-6, ce qui amplifie les processus inflammatoires.


L’accumulation d’acide linoléique dans le tissu adipeux constitue un autre problème. Les graisses stockées deviennent plus rigides et moins accessibles comme carburant, ce qui rend l’organisme moins apte à puiser dans ses réserves. Ce phénomène favorise la prise de poids, la résistance à l’insuline et une perte de flexibilité métabolique.


Enfin, les huiles riches en oméga-6, comme l’huile de tournesol, modifient la qualité des lipides circulant dans le sang. Elles favorisent la formation de particules LDL petites, denses et instables, particulièrement sensibles à l’oxydation et susceptibles de s’accumuler dans les artères. Cette oxydation rend ces particules plus agressives pour les parois artérielles et facilite la formation de plaques athéromateuses, un facteur majeur de maladies cardiovasculaires. Des études ont montré que l’enrichissement des LDL en acide linoléique augmente leur susceptibilité à l’oxydation, et que des niveaux élevés d’oméga-6 dans les membranes cellulaires sont associés à une augmentation des LDL petites et denses, traduisant une altération globale du profil lipidique.


Il est important de préciser que ce mécanisme n’est pas lié aux graisses saturées, qui augmentent principalement le nombre de LDL grandes et flottantes, beaucoup moins athérogènes, stables et peu susceptibles de s’oxyder.

Les résultats de cette méta analyse (données provenant de 21 études portant sur un total de 30 628 sujets et 5 693 incidents coronariens) montrent une association positive entre les niveaux de particules petites et denses de LDL et la maladie coronarienne, étayant sa causalité en tant que facteur de risque étiologique.

Liou L. et Kaptoge S., 2020, Association de petites concentrations denses de cholestérol LDL et des caractéristiques des particules lipoprotéiques avec les maladies coronariennes : une revue systématique et une méta-analyse, Public Library Of Science (PLOS) - USA.

L’huile de colza

L’huile de colza est obtenue à partir des graines de Brassica napus, une plante originaire d’Europe et d’Asie, cultivée depuis le Moyen Âge. À l’origine, elle servait à la fois à produire de l’huile pour l’éclairage et la cuisine, et comme engrais vert pour enrichir les sols. Au fil du temps, sa culture s’est intensifiée, et la sélection moderne a donné des variétés à rendement élevé, souvent génétiquement modifiées pour résister aux maladies et augmenter la teneur en huile.

 

La production industrielle contemporaine de l’huile de colza implique plusieurs étapes complexes. Les graines subissent généralement une extraction à chaud ou à l’aide de solvants chimiques, suivie d’un raffinage approfondi pour éliminer les composés indésirables tels que les glucosinolates et les résidus de solvants. Une étape de désodorisation est également appliquée afin d’obtenir un produit neutre en goût et en odeur, compatible avec les exigences des industries alimentaires.

Cette huile transformée est largement utilisée dans l’alimentation moderne. On la retrouve dans les vinaigrettes, les sauces industrielles, les plats cuisinés, les produits de boulangerie et pâtisserie industriels, ainsi que dans certaines margarines et snacks. Sa neutralité organoleptique et son coût relativement faible en font un ingrédient polyvalent pour les préparations alimentaires à grande échelle.

 

En termes de consommation, l’huile de colza se prête également à la cuisson domestique, mais sa sensibilité à la chaleur, notamment pour les acides gras polyinsaturés qu’elle contient, peut entraîner une oxydation rapide si elle est surchauffée. Cette particularité explique pourquoi elle est surtout utilisée pour les cuissons douces ou à froid, et largement incorporée dans les produits transformés où sa stabilité est améliorée par des procédés industriels.

 

Composition lipidique de l’huile de colza :

  • Acides gras saturés : environ 6 à 8 %.
  • Acides gras monoinsaturés (oméga-9, acide oléique principalement) : environ 58 à 61 %.
  • Oméga-3 ALA (acide alpha-linolénique) : autour de 9 %. C’est une proportion notable pour une huile végétale, mais sa conversion en EPA et DHA dans l’organisme reste limitée (5 à 10 % vers l’EPA, moins de 1 % vers le DHA).
  • Oméga-6, acide linoléique (LA) : environ 20 à 22 %.
  • Oméga-6, acide gamma-linolénique (GLA) : absent ou en quantité négligeable dans l’huile de colza, contrairement à d’autres huiles spécifiques comme celles de bourrache ou d’onagre.

Malgré sa teneur en oméga-3 d’origine végétale, sous forme d’acide alpha-linolénique (ALA), l’huile de colza reste une graisse fragile et instable. Lorsqu’elle est exposée à la chaleur, même modérée, ses acides gras polyinsaturés se dégradent rapidement et produisent des composés oxydés et réactifs pour l’organisme. De plus, le corps humain convertit l’ALA en acides gras essentiels à longue chaîne, EPA et DHA, de manière très inefficace : seulement 5 à 10 % de l’ALA est transformé en EPA et encore moins en DHA, qui sont pourtant nécessaires pour la santé cardio-vasculaire, cérébrale et oculaire.

 

Par ailleurs, l’huile de colza contient toujours une quantité relativement élevée d’oméga-6 (acide linoléique) avec tous les inconvénients pour la santé, et un excès de ces acides gras par rapport aux oméga-3 contribue à déséquilibrer le profil lipidique corporel.

 

Ainsi, malgré la présence d’oméga-3 végétaux, l’huile de colza demeure limitée dans sa capacité à répondre aux besoins physiologiques humains, en raison de sa fragilité, de sa conversion inefficace en EPA/DHA et de son déséquilibre oméga-6/oméga-3.

 

L’huile de sésame

L’huile de sésame est obtenue à partir des graines de Sesamum indicum, une plante cultivée depuis plusieurs millénaires en Afrique et en Asie, notamment en Inde, en Chine et en Birmanie. À l’origine, elle était utilisée pour ses graines riches en nutriments et pour l’huile destinée à l’éclairage, à la cuisine et à certains usages médicinaux traditionnels. La culture moderne du sésame s’est surtout développée dans les zones tempérées et chaudes.

 

La production industrielle de l’huile de sésame implique plusieurs étapes. Après le séchage et le nettoyage des graines, l’huile est extraite par pression à froid ou, pour les productions industrielles, par extraction à chaud avec solvants. Un raffinage et parfois une désodorisation sont appliqués pour stabiliser le produit et lui donner une neutralité gustative, notamment pour les applications industrielles. Certaines huiles de sésame peuvent également être grillées avant extraction pour obtenir une huile aromatique très utilisée en cuisine asiatique.

 

L’huile de sésame est largement employée dans l’alimentation moderne, principalement pour les vinaigrettes, les sauces, les plats cuisinés, ainsi que dans certains produits industriels où sa stabilité est appréciée. Elle est également utilisée en finition pour apporter un goût spécifique dans la cuisine asiatique. Grâce à ses antioxydants naturels comme la sésamine et le sésamol, elle est relativement stable, mais sa haute teneur en acides gras polyinsaturés reste sensible à l’oxydation si elle est chauffée à haute température.

 

Composition lipidique de l’huile de sésame :

  • Acides gras saturés : environ 14 à 18 %.
  • Acides gras monoinsaturés (oméga-9, acide oléique principalement) : environ 37 à 43 %.
  • Oméga-3 ALA (acide alpha-linolénique) : très faible, négligeable pour un apport significatif.
  • Oméga-6 acide linoléique (LA) : environ 38 à 46 %.
  • Oméga-6 acide gamma-linolénique (GLA) : absent ou en quantité négligeable.

Il est dommage que cette huile au goût délicieux et aromatique soit si riche en oméga 6. A utiliser très modérément juste pour le plaisir !

 

Sa teneur élevée oméga-6, contribue à déséquilibrer le profil lipidique et comme pour les autres huiles de graines, elle favorise l’inflammation. Sa faible teneur en oméga-3 ALA et l’absence d’EPA/DHA font qu’elle n’apporte pas directement les acides gras essentiels à longue chaîne dont l’organisme a besoin.

 

L’huile de carthame

L’huile de carthame est extraite des graines de Carthamus tinctorius, une plante originaire d’Asie et d’Afrique du Nord, cultivée depuis plusieurs millénaires pour ses graines oléagineuses et comme plante tinctoriale. Au fil du temps, sa culture s’est étendue dans les régions tempérées et semi-arides, notamment aux États-Unis, en Inde et au Mexique, où elle est cultivée à grande échelle pour l’industrie alimentaire et cosmétique. Les variétés modernes ont été sélectionnées pour leur rendement élevé en huile et leur résistance aux maladies.

 

La production industrielle de l’huile de carthame implique généralement une extraction à chaud ou à l’aide de solvants chimiques, suivie d’un raffinage et d’une désodorisation pour obtenir un produit neutre en goût et en odeur, compatible avec les exigences de l’industrie alimentaire. Certaines huiles de carthame destinées à la consommation à froid sont pressées à froid, conservant ainsi une partie de leurs composés antioxydants naturels.

 

Cette huile est largement utilisée dans l’alimentation moderne, notamment pour les vinaigrettes, les sauces industrielles, les produits de boulangerie et pâtisserie, ainsi que pour certaines fritures légères. Sa neutralité organoleptique et sa faible viscosité en font un ingrédient polyvalent pour l’industrie agroalimentaire. L’huile de lin est également incorporée dans des compléments alimentaires et certains produits cosmétiques en raison de sa richesse en acides gras polyinsaturés, ce qui n’est en réalité pas une bonne chose ni bénéfique. En effet, nos besoins en acides gras polyinsaturés sont relativement faibles, et nous avons tendance à en consommer de trop grandes quantités depuis que les huiles végétales ont supplanté les graisses animales, pourtant bien mieux adaptées à nos besoins physiologiques.

 

Composition lipidique de l’huile de carthame :

  • Acides gras saturés : environ 10 à 12 %.
  • Acides gras monoinsaturés (oméga-9, acide oléique principalement) : environ 12 à 15 %.
  • Oméga-3 ALA (acide alpha-linolénique) : très faible, négligeable pour l’apport en acides gras essentiels.
  • Oméga-6 acide linoléique (LA) : environ 75 à 78 %, ce qui en fait l’une des huiles végétales les plus riches en oméga-6.
  • Oméga-6 acide gamma-linolénique (GLA) : absent ou en quantité négligeable dans l’huile alimentaire standard.

Du fait de sa très haute concentration en acides gras polyinsaturés, l’huile de carthame est fragile et instable à la chaleur, ce qui la rend sensible à l’oxydation et à la formation de composés réactifs lorsqu’elle est utilisée pour la cuisson. Sa forte proportion d’oméga-6 contribue à déséquilibrer le profil lipidique de notre organisme. Elle est ainsi pro-inflammatoire et favorise la production de particules LDL petites et denses, susceptibles de s’oxyder et de se déposer dans les artères.

 

Conclusion

Les huiles de graines riches en oméga-6, comme celles de tournesol, de colza, de sésame ou de carthame, sont souvent présentées comme bénéfiques pour la santé cardiovasculaire, en raison de leur prétendue capacité à réduire le “mauvais” cholestérol (LDL) et à augmenter le “bon” cholestérol (HDL). Cependant, cette idée reçue est non seulement incomplète, mais est inversée dans ses effets réels.

 

En réalité, ces huiles favorisent la formation de LDL petites et denses, qui sont beaucoup plus vulnérables à l’oxydation. Lorsque ces particules LDL s’oxydent, elles deviennent particulièrement agressives pour les parois artérielles, se déposent facilement et contribuent à la formation de plaques d’athérome, augmentant ainsi le risque cardiovasculaire. Ce phénomène montre que la taille, la densité et l’instabilité des LDL sont bien plus déterminantes pour la santé cardiovasculaire que la simple quantité totale de LDL.

 

Même si certaines analyses indiquent une légère réduction du LDL total ou une augmentation marginale du HDL, ces chiffres globaux ne reflètent pas la dangerosité réelle des particules LDL générées par les oméga-6. L’excès d’oméga-6 augmente également la production de médiateurs pro-inflammatoires via l’acide arachidonique, accentuant le stress oxydatif et la vulnérabilité des LDL petites et denses.

Cette étude de 2018 conclut que "de nombreux éléments de preuve montrent que l'acide linoléique gras polyinsaturé oméga-6, favorise stress oxydatif, LDL oxydées, inflammation chronique de bas grade et athérosclérose, et est probablement un problème alimentaire majeur coupable de causer des maladies coronariennes, en particulier lorsqu'il est consommé sous forme d’huiles de graines industrielles communément appelées « huiles végétales »."

DiNicolantonio J.J. et O’Keefe J.H., 2018, Les huiles végétales oméga-6 comme moteur des maladies coronariennes : l’hypothèse de l’acide linoléique oxydé, Open Heart.

En conclusion, les huiles riches en oméga-6 ne sont pas protectrices pour le cholestérol. Au contraire, leur consommation excessive peut dégrader la qualité des lipides sanguins, créer des LDL facilement oxydables et instables, et contribuer à un déséquilibre métabolique et à l’augmentation du risque cardiovasculaire.

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