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Alimentation : nos conseils

L’impact environnemental de l’alimentation industrielle transformée et ultra transformée

269 Vues
L’alimentation industrielle ultra-transformée a un impact négatif sur l’environnement, en raison de la production de déchets, de la consommation d’eau et d’énergie, ainsi que de l’utilisation de produits chimiques dans la production alimentaire.

¼ des émissions de gaz à effet de serre en France provient de nos assiettes selon un article de l’Ademe (Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie) de 2021. L’agriculture génère à elle seule près de 20% des gaz à effet de serre mais les étapes de transformation ne sont pas en reste : la transformation des aliments est particulièrement consommatrice en eau et la réfrigération en grandes surfaces représente à elle seule 40 % des consommations d’énergie par exemple. Entre 1995 et 2008, la consommation de fruits transformés a doublé, au détriment des fruits frais. Et c’est sans compter les plats surgelés, la restauration rapide, les conserves, les produits réfrigérés ou congelés. “Plus un produit est transformé, conditionné, réfrigéré, plus il consomme de l’énergie ainsi que et des matières premières pour son emballage”, souligne l’article de l’Ademe.

ADEME (Agence de l'environnement et de la maîtrise énergétique) aujourd'hui Agence de la transition écologique

De la production à notre poubelle, un gaspillage hallucinant !

Le gaspillage :

La marge est grande dans la réduction de ces déchets en adoptant quelques astuces de consommation, par exemple mais de manière non exhaustive :

  • faire une liste de courses des denrées nécessaires,
  • adapter les volumes d’achat aux besoins,
  • établir les menus de la semaine,
  • conserver les restes dans un récipient hermétique pour les préserver,
  • cuisiner les restes de fruits et légumes en jus, compotes, sauces, croûtons, gratins, tartes, pains perdus …
  • composter les déchets,
  • congeler les aliments dont la date de durabilité minimale (DDM) approche, en s’y prenant suffisamment tôt et en respectant les consignes de décongélation et de préparation,
  • se renseigner sur les possibilités de consommer un aliment après expiration de la DDM, car au-delà de cette date, les produits restent consommables sans danger, seules les qualités gustatives ou nutritionnelles se dégradant. Par exemple, on peut consommer les yaourts jusqu’à trois semaines après la date indiquée sur l’emballage ou le beurre jusqu’à 2 mois. Le café, les boîtes de conserve ou les gâteaux peuvent se consommer bien après cette date. Le miel, le chocolat, le sucre, le sel, le vinaigre… ne périment tout simplement pas. On reste tout de même attentif à certains signaux d’alerte, comme un emballage endommagé ou à l’opercule bombé, des odeurs anormales ou la présence de moisissures.

Toutes filières confondues, de la production à la consommation, le chiffre grimpe à plus de 150 kg de perte par personne et par an.

En janvier 2023, le Ministère de la transition écologique rappelle les chiffres du gaspillage alimentaire (ADEME 2018) : “en France, les pertes et gaspillages alimentaires représentent 10 millions de tonnes de produits par an, soit une valeur commerciale estimée à 16 milliards d’euros.” Il ajoute que cela entraîne des frais de gestion inutiles de déchets qui ne devraient pas être.

L’étude de l’Ademe va même plus loin en pointant les chiffres de gaspillage suivants :

  • 32 % en phase de production ;
  • 21 % en phase de transformation ;
  • 14 % en phase de distribution ;
  • 33 % en phase de consommation dont
  • 14% en restauration et 19% dans les foyers.

La consommation au foyer représente 30 kg par personne et par an, environ 150 €, de gaspillage alimentaire soit 1 repas par semaine et cela comprend 7 kg encore emballés. Parmi ces pertes, 1/4 seraient des restes alimentaires, 1/4 des fruits et légumes, 1/5 des produits entamés, 18 % des produits non déballés et boissons, et 14 % du pain.

Consoglobe, Qui jette le plus de nourriture en France et dans le monde

Ce gaspillage représente un prélèvement inutile de ressources naturelles, telles que les terres cultivables et l’eau, et des émissions de gaz à effet de serre qui pourraient être évitées. Ces dernières sont évaluées par l’Ademe à 3 % de l’ensemble des émissions nationales.”

Consoglobe, Qui jette le plus de nourriture en France et dans le monde
Ce gaspillage a donc aussi un coût écologique : en France, ramené par habitant, l’alimentation représente 20 % des émissions de gaz à effet de serre d’un Français.

28% des terres agricoles mondiales sont utilisées pour produire la nourriture gaspillée !

“La nourriture produite non consommée engloutit chaque année 250 km3 d’eau, soit (...) trois fois le lac Léman. Jeter une baguette de pain équivaut donc à jeter une baignoire entière.” peut-on aussi lire à l’occasion d’une réunion d’experts de l'ONU sur le climat en août 2019 sur l'usage des terres et l'alimentation dans le monde.

Organisation des Nations Unies

La nourriture gaspillée occupe 28% des terres agricoles mondiales. Un constat effarant !

Les lois tentent d’intégrer des règles pour les producteurs avec notamment l’interdiction de la destruction des denrées invendues, l’obligation de don, les informations sur les produits à l’attention des consommateurs sur les possibilités de consommation après expiration de la date de durabilité minimale.

Dans le monde, près d’un tiers de la production alimentaire est gaspillée. Environ 14% de cette production sont perdus au moment de la production après récolte et avant distribution. 17% supplémentaires sont gaspillés lors de la vente et par le consommateur.

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Alimentation transforméeGaspillage alimentaire
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