Les déficits d’apport en oméga 3, acides eicosapentaénoïque (EPA) et docosahexaénoïque (DHA), sont observés chez tous les âges de notre population française.
Selon un rapport datant de septembre 2015, Apports en acides gras de la population vivant en France et comparaison aux apports nutritionnels conseillés définis en 2010, 90 % de la population adulte (96% chez les 18-34 ans), 89% des enfants âgés de 3-9 ans et 96% des 10-17 ans ont un déficit en oméga 3 (EPA et DHA). Le grand public est de plus en plus conscient des carences en oméga 3, ce qui a entraîné une consommation croissante de nombreux compléments nutritionnels et d'huiles censées être riches en oméga 3. Cependant, il est important de faire attention à l'origine et à la qualité des omégas 3.
ANSES (Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail)
Nombre de personnes sont tentées d’acheter des huiles végétales réputées riches en oméga 3 et pensent ainsi combler leurs besoins. Malheureusement, les oméga 3 d’origine végétale ont un très faible taux d’assimilation.
La carence en Oméga 3, un phénomène quasi généralisé !
Pour ne pas risquer un déficit, il faudrait “favoriser la consommation des (...) poissons pour l’EPA et le DHA, [notamment] deux portions de poissons par semaine, dont une à forte teneur en EPA et DHA [maquereaux, sardines, harengs], en variant les espèces et la provenance pour permettre la couverture des besoins en nutriments tout en limitant le risque de surexposition aux contaminants chimiques (Afssa 2010). Il convient également de limiter les apports en acides gras saturés” de mauvaise qualité (acides laurique, myristique, palmitique), qui favorisent le dépôt de plaques riches en cholestérol sur la paroi interne des artères.
Comité d’experts spécialisés de l’ANSES
Le rapport entre l’apport d’acides gras saturés de mauvaise qualité consommés en trop grande quantité, et d’acides gras polyinsaturés (dont les “bons acides gras” comme les oméga 3 et 6 notamment), dont nous sommes en principe déficitaires est aujourd’hui trop déséquilibré, de même que le rapport oméga 6 / oméga 3 (il devrait être de 3 pour 1 mais il est plutôt aujourd’hui de 18 pour 1 en France, en défaveur des oméga 3).
- L’Oméga 3 800 Djform : Les acides gras proposés dans notre Oméga 3 sont nécessaires au bon fonctionnement de toutes les cellules de notre corps et de notre peau. L’EPA et le DHA contribuent à un fonctionnement normal de notre cœur et la protection de notre système cardiovasculaire, au maintien d’un cerveau en bon état de marche et d’une bonne vision. Ils sont indiqués à tout âge mais jouent un rôle essentiel durant la croissance de l’enfant et l’adolescent et chez les seniors.
- L’Huile de Foie de Morue Djform : Distribuée dans les écoles dans les années 50 pour ses propriétés fortifiantes et réputée favoriser une bonne croissance des enfants, l’Huile de foie de morue fournit des oméga 3. Ils sont indispensables au fonctionnement normal de notre cerveau et de nos fonctions cardiaques ainsi qu’au maintien d’une vision normale. L’huile de foie de morue est intéressante car elle fournit également de la vitamine A, D et E.